Jours de pluie et budgets

C'est la saison des pluies en Ouganda. Tatiana a écrit un commentaire drôle sur Facebook, disant que même s'il pleut en Ouganda, il ne pleut même pas autant qu'en Hollande. Et c'est vrai !

 

Oui – pas aujourd'hui – aujourd'hui c'est carrément affreux…

 

Je suis en train de lire un livre appelé ''Financer votre ministère – si cela vous est donné ou non'' de Scott Morton. C'est un bon livre qui vient au bon moment. Je l'ai acheté à un de mes amis, Terry. C'est formidable, car il me lance un défi par rapport à tout ce que je pensais sur la recherche du financement. C'est le bon moment parce que… bon… nous ne sommes plus sous la protection du pasteur Bill ! Aussi maintenant nous avons à trouver notre financement et nos soutiens ! Haha ! Lire ce livre m'a fait réaliser que trouver un financement est tout à fait comme la pluie, ici en Ouganda. Au premier abord, cela semble horrible… déprimant… mais une fois que vous avez compris que sans cette saison des pluies, il n'y aurait pas de fruits tropicaux… et vous réalisez que la pluie donne en fait, quelques soulagements à la chaleur… alors vous commencez à aimer cette saison ! Chercher un financement, c'est pareil ! Cela semble horrible, déprimant… mais quand vous comprenez que les soutiens sont aussi une partie de votre ministère, et qu'ils sont capables de répondre à l'appel de Dieu dans leurs vies, vous commencez à aimer le financement !

 

OK, je suis juste en train de lire ce livre… Je ne l'ai pas encore mis en pratique… Je vous le dirai dans 6 mois, ok ?

 

 

Les voisins…

Notre intention, en tant que parents, est de voir notre fille Maëlle fréquenter les enfants de notre voisinage et développer des relations saines avec eux. Cela n'est pas si facile… Mais il y a quelques semaines, comme je mettais ma lessive dehors, un jeune garçon balayait les escaliers. Je fus heureux de le voir et j'ai commencé à lui parler…

 

Je lui demandais s'il vivait dans les escaliers et il répondit 'oui'. J'étais encore plus enthousiaste. Nous avions un enfant avec qui Maëlle pourrait jouer ! Je lui demandais s'il voulait jouer avec elle et il répondit 'oui'. Il continua sur la réponse 'oui'… aussi je lui demandais s'il parlait anglais et il dit 'oui'… Alors je lui demandais s'il comprenait ce que je lui disais … et il dit 'oui' à tout. Je n'étais pas encore convaincue, mais il semblait dire 'oui' au bon moment… J'aurais dû lui poser une question où il aurait répondu 'non !

 

Quand il a eu terminé de balayer, il laissa là son travail et j'ai senti que l'opportunité pour que Maëlle puisse jouer avec un autre enfant était arrivée. Vous pouvez imaginer mon excitation lorsque je l'ai vu, quelques heures plus tard, jouant dans les escaliers… Il grimpait et descendait devant ma fenêtre, essayant d'attirer l'attention. Ca marche !

 

Je lui ai finalement prêté mon ballon de foot et je l'ai laissé jouer avec Maëlle devant l'appartement. De cette façon, je peux garder un œil depuis la fenêtre de ma cuisine…

 

Bref, je travaille un peu et je ne suis pas en paix, aussi je suis finalement allée chercher Maëlle et j'ai dit au garçon qu'il pouvait continuer à jouer avec le ballon et qu'il me le rapporterait ensuite. Et bien sûr, il a répondu 'oui''. Au début, il jouait devant notre porte… Je pouvais entendre les rebonds du ballon. Mais ensuite plus rien… Le jeune garçon était parti.

 

Une heure passe, puis deux et ensuite trois…

 

Je commençais à me demander si le garçon parlait bien anglais… le seul mot qu'il m'ait dit est 'oui'… Je réfléchissais au pire, je pourrai récupérer mon ballon dans l'appartement du haut. Mais j'ai découvert que personne n'habitait en haut !!!

 

Alors je me demandais si un garçon de 7 ans pouvait me tromper en me volant mon ballon ! Ou a-t-il simplement pensé que je l'ai béni avec ? J'ai décidé de voir plus tard… Mais quand je suis sortie ce jour, le même gamin courait et m'a vu… A ce moment, je savais qu'il savait que je ne l'avais pas béni  avec mon ballon de foot ! Je fus réellement chagriné qu'un gamin de 7 ans pouvait voler une dame adulte comme moi. Je priais Dieu pour que mon ballon revienne et j'étais suffisamment sure qu'il me répondrait !

 

Quelques jours plus tard, comme je revenais du marché, j'ai vu deux garçons jouant avec un ballon de  foot bleu comme le mien… Je ne pensais même pas à une coïncidence… J'ai pris le ballon et suis partie…

 

Bon, je suis revenue au point de départ… Maëlle n'avait plus d'amis pour jouer…

 

Je me sentais coupable d'avoir fait tant d'histoires pour un ballon et je décidais d'aller frapper à la porte de notre voisin et de jouer avec eux. J'ai pris mon ballon et j'ai autorisé Maëlle à aller avec quelques enfants… Ce fut formidable ! Les gamins ont aimé ça. Ce fut un peu incompréhensible que je sois noire mais que je parlais comme un Muzungu (homme blanc), mais après quelques jours ils s'y sont fait…

 

Cela fait trois semaines maintenant ! Mais il y a deux jours, j'ai voulu tenté autre chose…

 

Je suis allée parler à une des mères… Miss Marie. Et j'ai pensé que c'était une bonne occasion pour connaître mes voisins ougandais car cela devenait un fardeau. J'ai pensé que j'allais bien en retirer quelque chose.

 

Kimie, une jeune fille de 16 ans,  vint me demander de l'argent pour ses frais scolaires, une nouvelle paire de chaussures, des vêtements, de la nourriture et un travail, en 15 minutes de conversation.

 

Miss Marie essayait désespérément de me vendre un drap de lit et de me donner une servante. Et maintenant, comme certains savent ce que je ne sais pas faire la nourriture africaine, elle m'a proposé de faire la cuisine pour moi. C'est très douloureux !

 

Je pense aujourd'hui : ma petite bulle va sauter…

 

Maëlle sera toujours différente, simplement parce que nous sommes des Occidentaux… avec de l'argent… aussi à leurs yeux, elle est en dehors de leur vie. Je devine le chemin sur lequel elle est… mais cela doit-il intervenir quand on recherche simplement des amis ?

 

Venant d''une des portes voisines, une mère m'a dit aujourd'hui que j'étais sa meilleure amie. Ce fut après l'avoir vue pour la deuxième fois et être restée avec elle pendant 10 minutes… c'est triste et effrayant !

 

A penser à tout ça, c'est encore plus écrasant…

 

Plus que jamais, je réalise que ce n'est pas si facile d'exercer son ministère ici et je me demande si je suis vraiment prête… Sincèrement, je ne crois pas !

 

Tatiana

 

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Le Black-out

Maintenant, c'est la saison des pluies en Ouganda… cela signifie qu'il pleut tous les jours ! Mais cela n'est pas gênant car c'est souvent seulement après 18 h, le soir.

Il est vrai que tout le temps, il pleut très fort… le courant est coupé et nous sommes dans un noir total, un vrai black-out !

Bon, il pleut fort souvent, l'électricité est coupée assez souvent…Normalement, ce n'est pas un problème car Maëlle dort quand cela se passe. Mais il y a deux nuits, Maëlle était encore debout.

Prenez une minute pour regarder la vidéo ci-dessous. J'espère que vous vous amuserez autant que nous.

Projets de travail à CRO

Vendedi dernier, nous arrivions à CRO et, à notre surprise, tous les enfants étaient en train de couper de l'herbe, nettoyer les armoires, laver les fenêtres, ranger les différentes salles de classe ! Ils se sont pris au jeu du jour des 'projets de travail' ! Tout l'encadrement était aussi impliqué !

 

Vous pouvez imaginer que lorsque Tanie a pris son appareil photo, tout le monde a voulu poser… Une excuse pour arrêter de travailler une minute…

 

Maëlle connait tout sur le nettoyage. Chaque jour elle prend son balai et sa poubelle, et elle aide à faire le ménage. Ce n'est pas du luxe, car Jinja est réellement très poussiéreuse. Si nous ne lavons pas notre sol toutes les nuits, nous aurions une petite couche de poussière rouge dans tout l'appartement. Merci Maëlle de nous aider

 

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La semaine de Maëlle – 2e partie

Maëlle a commencé à parler et à jouer avec le bébé dessiné sur le paquet de couches… Cela nous a perturbé ! Aussi cette semaine nous avons décidé en priorité de lui permettre de jouer avec d'autres enfants dans notre entourage…

 

Une petite fille, au moins c'est ce que je pensais car elle portait une robe rouge, mais après qu'elle ait soulevé sa robe en ne portant pas de couche… il fut clair que cette petite fille était un petit garçon ! En tous cas, ce petit garçon disait doo-doo-bébé doo-doo-bébé, quoi que cela veuille dire. Mais plus tard, ce petit garçon vint avec sa grand-mère… Elle m'a regardée et a parlé en dialecte… J'ai seulement compris un mot, Muzungu (blanc) aussi je lui ai demandé ce qu'elle disait aux enfants aux alentours…

 

Et bien, ce petit garçon qui disait doo-doo-bébé doo-doo-bébé, disait en réalité ''c'est un bébé Muzungu !'' La grand-mère ne l'a pas cru et est venue voir pour vérifier par elle-même…

 

Ce fut très drôle ! Notre brave Maëlle est  toujours un peu différente… un bébé Muzungu ou un bébé doo-doo.

 

 

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Errer en Ouganda

Nous sommes allés dans des lieux que vous ne pouvez pas imaginer ! C'est incroyable de voir l'Ouganda ! Quel beau pays ! Vert, riche en couleurs, d'une belle nature!

Dimanche dernier nous sommes retournés voir quelques enfants que nous parrainons. Au fur et à mesure que nous les connaissons mieux, nous commençons à voir la quantité étonnante de potentiel inexploité qu'il y a ici, dans la communauté ! Si vous pouviez seulement venir et voir par vous-mêmes !

Nous avons filmé un des jeunes hommes que nous parrainons depuis quelques années. Son nom est Tabu, il a 17 ans, et l'histoire de sa vie est ahurissante.

Un jour, quand nous pourrons, nous voudrions vous montrer des vidéos que nous avons tournées ce jour là. Tuba nous a montré sa 'propriété'… avec fierté ! Il nous a montré les deux pièces qu'il a bâties lui-même, avec des matériaux qu'il a trouvés dans les bois, ou apportés des lieux qu'il a habités précédemment. Il m'a montré comment la famille a planté son maïs pour manger. Le maïs est un ingrédient magique dans les menus pauvres ici… pas un ingrédient magique… le seul ingrédient. Ils en mangent à tous les repas. Quelquefois il n'y a que ça à manger. C'est formidable pour le porridge du petit déjeuner, puis dans l'après-midi et ensuite pour le dîner, il fait le porshio ! Oui ! Une grande diversité ! Leurs champs pleins de maïs leur donne une ouverture pour acheter de la nourriture… pour environ 3 mois. Et dire que je me plains quand je mange trois fois de suite la même chose ! Ils mangent du maïs pendant 3 mois

Il nous a montré comment il fait ses devoirs le soir… avec une lampe à kérosène. Il nous a montré sa 'cuisine'… quelques pierres sur le sol, où il brûle du bois… pas du charbon… et il n'aura jamais de réchaud à gaz.

Mes amis, il y a tellement d'opportunités ici pour faire une vraie différence !

Tatiana, Bosco et moi développons le système 1EnfantdePlus…Celui qui permettra de donner des capacités à ces enfants orphelins et à ces veuves pour réellement faire une différence pour eux, et finalement pour leur communauté. J'aimerais partager avec tous, mais nous ne sommes pas encore prêts… bientôt !

Tabu m'a parlé de son école. Il apprend pour devenir un constructeur. C'est formidable car il peut réellement aller loin ! Et en plus, son plus jeune frère (que nous parrainons aussi) apprend la même chose ! Bien, je crois que nous les verrons un jour avec leur propre société de construction !

Merci de m'écouter avec mes histoires sur Tabu ! Et si un jour vous venez en Ouganda, dites le moi, je vous mettrai en contact avec lui par téléphone.

 

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Maëlle's week in pictures

L’Ouganda à travers les yeux de Tanie

Sur l'article ci-dessous, vous trouverez des photos prises par Tanie dimanche dernier. Elle a l'œil pour faire des images formidables. Si quelqu'un a des contacts sur les moyens de faire un livre pour raconter cette histoire, faites le moi savoir !

 

Uganda through Tati's eyes...

Here are a few pictures Tanie took last Saturday. She really has an eye for
great pictures. If anybody has contacts how we could make a book to tell
this story - let me know!

La conférence de Watoto

Depuis le mercredi 24 septembre jusqu'au dimanche 28, Tatiana, Maëlle, Bosco et moi sommes allés à la conférence de Watoto à Kampala. Watoto est un ministère de l'Eglise de Pentecôte de Kampala qui prend soin de 1500 enfants orphelins dans un de leurs villages. J'explique : les enfants orphelins qui n'ont pas de famille plus lointaine pour les élever sont placés dans un Village Watoto. Dans ce village, on leur donne une nouvelle famille. Ils vont dans une maison avec une mère et sept autres frères et sœurs. Ils peuvent rester dans cette famille jusqu'à l'âge de 21 ans, ou aller au collège. Dans ce village il y a environ 100 autres maisons comme celle-ci. Cela semble 'grand', mais elles sont divisées en petites communautés. Et ça semble bien marcher !

 

La vision de Watoto est de faire se lever de futurs responsables. Tout ce que nous avons vu pendant ces quelques jours est vraiment en ligne avec cette vision. C'est très inspiré. Leurs écoles, leurs programmes et leurs possibilités, tout semble avoir un standard d'excellence, quelque chose de rare en Ouganda… Très inspiré et prometteur à la lumière de '1EnfantdePlus' ! Cela a amélioré ma propre espérance sur ce que nous pouvons faire ici !

 

Je pense que nous ressentions la même chose qu'une personne qui visitait Metro Ministry pour la première fois. Un peu interloqué, et nous demandant si nous pourrons toujours être 'comme ça'. Mais je suis heureux que nous n'ayons pas à être comme ça. Nous serons complètement différents de Watoto, cependant nous allons nous évertuer à trouver ce niveau d'excellence ! Et ça prendra du temps. Beaucoup de temps. Le Pasteur Bill Wilson de Metro Ministry avait l'habitude de nous enseigner qu'un ministère qui dure est celui qui choisit l'escalier plutôt que l'ascenseur. Même si un ascenseur vous amène plus vite au sommet, les escaliers vous donnent la chance de prendre du temps, et d'apprendre tout au long du chemin.

 

Tani et moi allons prendre les escaliers… et nous avons juste atteint la première marche ! Cela va être un loooooooong chemin ! Pour Watoto et Metro Ministry cela a pris 'seulement' 25 ans pour devenir un succès !

 

Ce sont les choses suivantes qui nous ont le plus frappés :

 

Faire que les enfants bénéficient de la part de '1EnfantdePlus' d'une solution pour leur propre situation : juste distribuer des choses à ces enfants ne les aidera pas. Ils ont besoin de distribution, et aussi de quelqu'un qui leur montre comment ils peuvent surpasser leurs propres circonstances. Nous sommes en train de rechercher comment on peut faire travailler ces enfants et adolescents pour qu'ils assurent leurs frais scolaires. Comment pouvons-nous leur faire gagner leur soutien, d'une façon qui leur apprendra à s'auto-considérer, qui leur apprendra la dignité et le vrai sens de la charité.

 

Impliquer les mères veuves et les tantes. Quelques-uns de nos enfants vivent avec leur mère qui est veuve, d'autres avec leurs tantes. Elles ont aussi besoin de dons. Comment pouvons donner les capacités à ces dames de prendre soin de leurs propres enfants ? Comment pouvons-nous leur redonner l'espérance ? Nous recherchons les opportunités pour parrainer ces mères, par des mères partout dans le monde. Le Pouvoir des Filles ! Ou devrais-je dire 'le Pouvoir des Mères !'

 

Aller vers l'excellence. Watoto nous a montré que l'on peut construire un ministère avec l'EXCELLENCE ! Ne laisser pas le 'standard du pauvre' influencer le standard que vous voulez réaliser !

 

Commencer petit. Ces mots me revenaient à l'esprit encore et encore. Juste commencer petit, avec les 28 enfants que tu as jusque là… Apprends à travers l'expérience et l'erreur. Essaie de nouvelles choses. Deviens solide. Travaille sur tes bases. Trouve une place pour te construire…. Juste ne te précipite pas.

 

Nous avons aussi mis dans notre blog quelques photos de notre expérience à Watoto ! Vous pouvez aussi tester leur site Web www.watoto.com. Il en vaut la peine

 

Some more Watoto

While this week we are working hard on our newsletters, vision statements for 1moreChild and video footage for future projects, I wanted to show you some pictures of our Watoto Tour!

Every time I watch the pictures, I see the EXCELENCE they keep as a standard at Watoto. It has raised our expectations of what we can do BIG TIME as well. Of course they have great reputation, and therefore great supporters. But hey - they have been working on it for 25 years! We've been here 5 weeks :)

The picture with the choir was inside, and was made up out of the KPC church choir and the Watoto choir.

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Unique-New-York-Unique-New-York !

Le 23 septembre, nous avions l'impression que nous étions retournés à New York…

 

Juste de l'autre côté de chez nous, nous pouvons entendre depuis l'échoppe du coiffeur les éclats des musiques R&B, Hip Hop et Reggae.

 

Beaucoup de choses ici nous rappellent New-York. Deux nuits auparavant, depuis la fenêtre de notre chambre, nous avons vu une bagarre au milieu de la nuit, comme nous avions l'habitude d'en voir à Brooklyn. Quel que soit l'endroit où nous sommes, c'est amusant de voir que rien ne change…

 

Nous avons été très occupés à visiter les enfants que nous avons parrainés ces 5 dernières années et leur histoire nous a brisé le cœur.

 

Le mercredi, nous avons passé quelques jours à Kampala, la capitale de l'Ouganda, pour participer à la conférence de Watoto. L'objet en était les enfants d'Afrique et particulièrement les orphelins. Nous avons été très heureux de pouvoir nous y asseoir et écouter des orateurs qui exercent leur ministère en Ouganda depuis des années. Plus… la responsable de la louange d'Hillsong, Darlene Zschech, a conduit les chants pendant la conférence…

 

Qui aurait cru que nous la rencontrions en Ouganda ?! Bonne coïncidence !

 

Tatiana