C’est quoi Noël ?

Dans Luc 2, nous trouvons la véritable histoire de Noël. Un verset l'établit :

''Je vous annonce une Bonne Nouvelle, qui sera pour tout le peuple un sujet de grande joie : c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, votre Seigneur.''

 

Noël est une bonne nouvelle ! Noël est une bonne nouvelle pour vous et pour moi. Noël est une bonne nouvelle pour chacun d'entre nous ! Noël n'est pas l'affaire de l'arbre de Noël. Noël n'est pas une affaire de scène de nativité douce et branchée (Mon ami Val a la plus belle crèche !). Noël n'est pas une affaire de nourriture et de cadeaux (au plus loin que je me rappelle, dans ma jeunesse, je passais beaucoup de temps à regarder des catalogues et à explorer des brochures de jouets pour écrire mon nom sous tous les jeux que je voulais et je n'avais rien du tout lol). Noël ne vous coûte rien ! Noël ne nécessite pas que vous fassiez quelque chose ! Noël n'a pas un emploi du temps caché. Il n'y a pas d'étapes à suivre pour recevoir la bonne nouvelle de Noël. Si vous pensez à Noël et que d'autres choses vous viennent en tête… désolé, je dois vous dire que votre compréhension de Noël a été faussée. La bonne nouvelle de Noël est que Dieu vous aime tant qu'il a donné son Fils pour vous. Noël est la naissance de l'amour. Noël est une histoire d'amour. Noël est une histoire d'amour passionnante. Noël est l'amour de Dieu. Noël, c'est Dieu avec nous. Pensez-y...  Si votre plus grand besoin est financier, Dieu vous a envoyé un économiste. Si votre plus grand besoin est la santé, Dieu vous a envoyé un médecin. Ce que nous avions réellement comme besoin c'est le pardon, aussi Dieu a envoyé un Sauveur. Quand nous ne pouvons aller à Dieu, Dieu vient à nous. Dieu avec nous, voici l'Histoire de Noël. Joyeux Noël à tous.

 

Méthode pour tenir l’équilibre en vélo !

J'ai entendu des paroles hier qui ont déclenché des pensées en moi… Il y a quelques mois, nous avions parlé de notre fille Maëlle et comment elle savait monter à bicyclette. Elle a été très bonne et a appris si vite. Nous la ventions tant comme de fiers parents que nous sommes. Je me rappelle clairement comment les choses se sont passées. Maëlle a demandé à Ferdi de retirer les deux petites roues de son vélo. Chaque fois que nous partions, elle redemandait encore et encore. Finalement Ferdi les enleva et quelques jours plus tard seulement, Maëlle savait conduire son vélo toute seule (Bien ma fille !)

 

Pendant que Maëlle essayait de monter à vélo et perdait son équilibre à chaque fois qu'elle voulait pédaler, j'ai pris la décision de faire différemment pour Emeth. Nous allons lui apprendre à tenir l'équilibre maintenant avec un "loopfiets" (vélo d'équilibre).

 

Vous voyez, les petites roues sont formidables car n'importe qui peut faire du vélo avec elles. Tout le monde ! Les petites roues sont importantes pour vous faire croire que vous savez vraiment faire du vélo. Elles vous donnent un air supérieur. Vous pédalez. Vous arrêtez. Vous ne tombez pas. Vous avez tout pour croire que vous savez faire du vélo. C'est facile de monter dessus. Vous êtes en sécurité. Elles vous gardent en équilibre et vous empêchent de tomber et de vous blesser.

 

D'un autre côté, le jour où vous les enlevez, vous vous rendez compte que vous ne savez pas faire du vélo. Pendant des années vous avez cru que vous saviez, mais vous ne savez pas. Sans petites roues, vous n'avez pas d'équilibre automatique de votre vélo. La vérité, c'est que les petites roues vous mentent. Elles vous font croire que vous savez faire du vélo, mais vous ne savez pas. Quand vous les enlevez, vous devez démarrer le processus d'apprentissage du vélo…

 

Dans beaucoup de cas, dans ma vie, j'ai conduit un vélo avec des petites roues. Je croyais que je faisais des choses formidables, conduisais mon vélo très vite ! Mais quand les petites roues sont parties, l'histoire a changé… Je n'avais plus d'équilibre. Je tombais. Je perdais ma sécurité. Je me sentais découragée et frustrée de ne plus avoir l'équilibre. Nombre de fois, je me sentais brisée, sur le point de tout jeter et abandonner. C'était la situation avant que je surpasse mes craintes et apprenne à m'équilibrer moi-même et aller correctement sur mon vélo.

Aujourd'hui, mon processus d'apprentissage et différent. J'utilise la méthode 'loopfiets' (si jamais elle existe ! lol). J'apprends d'abord à avoir l'équilibre. Je garde mes pieds sur terre, mais chaque mouvement que je fais m'apprend à rester en équilibre. J'ai confiance alors pour monter sur un vélo et pédaler. Avec la méthode 'loopfiets', vous apprenez d'abord à rester en équilibre sur le vélo. Progressivement vous prenez confiance. Les petits pas que vous faites sont de bonnes bases pour de futurs grands pas. La méthode 'loopfiets' est formidable… que faites-vous ?

 

Ferdi en Ouganda

Dimanche dernier, je me suis envolé vers l'Ouganda ! Il faut voir l'enthousiasme de mes frères ougandais ! Croyez-moi ou pas, les enfants dans la rue chantent la chanson de Tjeko. C'est cool !

Après avoir répondu à quelques besoins urgents, je me concentre maintenant sur la prochaine étape, pour qu'elle soit une réalité à Jinja. Nous aimerions voir plus d'enfants vivrent une vraie journée d'enfance. Nous allons offrir Tjeko aux autres ONG qui vont aussi mettre leurs efforts dans le développement des plus vulnérables en Ouganda.

En même temps nous voyons que Tjeko attire l'attention de beaucoup de ''pas si pauvres'' ! Formidable – car ils ont aussi besoin d'avoir une chance de profiter de leur enfance !  

 

Je lisais cette citation l'autre jour : jouer est la façon dont les enfants apprennent ce que personne ne peut leur enseigner.

Combien cela est vrai ! Si Tjeko continue à travailler parmi les enfants ougandais, nous pouvons vraiment aider à façonner cette génération. Le fait est : les Ougandais souffrent de la troisième génération d'enfance volée. Si vos grands-parents n'ont jamais encouragé vos parents à jouer (à cause d'expériences traumatiques qu'ils ont subies), vos parents ne vont jamais vous encourager à jouer – nous créons ainsi une culture qui développe seulement l'éducation et la survie.

 

Jouer est essentiel dans le développement de la santé. Jouer donne un contexte d'intégration essentiel pour le développement d'un enfant résistant. Et c'est ce dont des millions d'enfants à travers le monde ont besoin.

 

Merci pour vos encouragements constants et votre soutien !

  

Merci aussi de prier pour Tatiana -J. Elle fait un travail étonnant avec nos propres enfants – et avec leur enfance.

 

Le café est bon pour vous !

Bonjour !

Le café est BON pour vous ! Il vous maintient en éveil, mais aussi il permet un revenu à la dame qui le fabrique ! Pas seulement dans les pays étrangers, mais ici aussi J

 

Peut-on le considérer comme équitable ?

L'élaboration du curriculum scolaire

Photo 1 : Le programme scolaire pour l'Ouganda existe déjà 

Photo 2 : Maintenant, aux gamins hollandais J

 

Dans quelques semaines, quelques-uns de nos amis vont devoir réfléchir ensemble, et nous allons éditer un surprenant CURRICULUM SCOLAIRE que les écoles vont utiliser pour le projet Tjeko.

 

Comme vous le savez, nous retournons en Ouganda en juin 2012, et auparavant nous avons plusieurs programmes que nous voulons voir aboutir. Très enthousiasmés– et très très occupés J. Mais oui, nous aimons ça !!

 

Si vous connaissez quelqu'un qui peut nous aider avec de bonnes idées, nous sommes plus que désireux de l'apprendre !

Deux nuits pleines d’émotion

Quelques jeunes de notre église. Un potentiel de jeunesse étonnant

 

Demain, Tatiana et moi, nous allons être embarqués dans une nouvelle aventure de notre vie : diacres de la jeunesse dans notre église à Gouda.

Comment pouvons-nous prendre cette tâche supplémentaire, en plus de tout ce que nous faisons déjà ? Je n'ai pas idée. Sauf que je peux dire : Dieu observe la volonté de chacun… et Tatiana et moi, nous avons…

 

Pourquoi ? Pourquoi passons-nous notre temps à accomplir cette fonction ? Est-ce qu'elle correspond à notre objectif avec les enfants en Ouganda ? Oui, certainement. Et cependant, quand nous regardons la jeunesse de notre ville, dans notre église… nos cœurs se brisent… avec compassion. Nous voyons comment nous laissons cette génération aller à la perdition. Les jeunes, les ados, les jeunes adultes ont besoin de gens qui s'occupent d'eux. Bon, si je le formule autrement : ils ont besoin de gens qui crient, qui hurlent et pleurent sur leurs comportements. Pleurer leurs larmes… Se tenir avec eux dans le fossé. Quand le monde veut les tirer d'un côté, il y a besoin de quelqu'un du Royaume qui les tire de l'autre côté. Ou alors – vous tombez… c'est tout simple. Dieu lui-même nous demande dans sa Parole, Esaïe 6:8.

''J'entendis la vois du Seigneur, disant : Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous ? Je répondis : me voici, envoie-moi.''

Dieu a appelé Saul. Après avoir persécuté des chrétiens, il entendit la voix de Dieu de façon surprenante, et s'est lancé le défi de PRECHER JESUS (Actes 9). Dans Luc 10:2, il nous dit, à nous qui travaillons déjà dans le Royaume de Dieu : ''La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson  d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.

 

Cette nuit, j'ai réalisé – voila tout.  Au lieu d'atteindre, de saisir et de SAUVER cette génération pour le VRAI ROYAUME, Tatiana et moi – et avec nous, beaucoup d'autres – sont appelés à devenir actifs pour eux. Où ils ne trouveront personne pour se tenir avec eux.

Nous voulons nous tenir derrière Henri, Arjen, Joost, Myrthe, Anja, Bas, Marjolein, Reinout, Eugenie, Jaap, Janie, Rik, Marjolein et Jolien – en regardant pour plus d'ouvriers qui se tiennent sur la brèche. Peut-être devant, peut-être derrière, mais nous avons besoin de personnes passionnées pour Jésus pour aider les jeunes à trouver le Royaume.

 

Si vous travaillez déjà dans son Royaume – suivez l'appel de Jésus comme décrit dans Luc. Sinon, mais si vous êtes chrétiens, comprenez que vous êtes une réponse à nos prières ! Vous avez besoin de vous tenir ensemble, d'oublier les excuses et de vous lever ! Venez et aidez-nous. Pas seulement nos jeunes à Gouda, mais là où vous êtes… il y a une moisson vers vous aussi…

Prendre des photos

La vérité doit être dite … nous aimons prendre des photos de la famille de ci de là…

Spécialement pendant la saison qui vient…

C'est formidable de les 'envoyer à nos amis et à la famille à travers le monde…

En ce moment Masja a trouvé un emplacement très cool pour prendre des photos.

Le seul défi, c'est d'avoir toute la famille prête…

 

Une leçon de Maëlle

Il y a dix jours, Maëlle a demandé à Ferdi de lui apprendre à faire du vélo sans les petites roues. Ils ont finalement décidé de le faire samedi mais seulement si le temps était beau. Ferdi lui a appris un principe universel du vélo pour faire de bonnes promenades : ''tu tombes et tu te remets en selle''. Même si il fut rapide à la remettre droite et à lui dire : ''Non ! tu tombes, relève toi et repars !'' Nous la regardions, elle était surprise et souriante. Où allait-elle donc chercher cette sagesse ?

Quand elle s'assit sur le vélo, je lui dis ''Maëlle, tu dois toujours positionner tes pédales correctement, donner une petite poussée puis pédaler, OK ?'' Elle a compris et l'a fait en un rien de temps. Elle était très déterminée. En apprenant à faire du vélo, elle restait à regarder ses pieds et je lui dis de lever la tête, de regarder droit devant elle.

 

La vidéo est visible sur le site en anglais

 

Mon 11 septembre

Comme je prenais un journal gratuit le matin du 11 septembre, 9/11 était écrit partout. Pas de doute, c'était il y a 10 ans maintenant. Je lisais les e-mails, et répondait à un de mes amis, j'écoutais Spotify sur mon PC et ce CD de Hillsong passait…

C'est drôle, c'est le CD que l'on utilisait pendant les réunions de prière à Metro Ministry (je l'ai tellement passé – que pendant des années, je ne pourrai plus l'entendre – mais ce matin il résonnait si bien). Il m'a ramené sur ce jour passé du 11 septembre…  Comment New-York a instantanément changé. Je n'ai jamais vu une telle fraternité dans cette ville qui est normalement si dure, si froide… J'ai été réellement touchée. Et quand je dis 'jamais', je veux dire nulle part ailleurs dans le monde.

 

Des heures après ces moments tragiques, quelques personnes de notre équipe étaient allées dans la rue pour prier. LA PRIERE. Dans les rues de New-York. Et pas de façon discrète. Juste dans la rue ! Avec beaucoup d'autres ! Le jour suivant, je rejoignais les rangs. Ce fut vraiment thérapeutique. Je veux dire, sérieusement, que peut-on dire devant une telle tragédie ? Juste à quelques minutes du lieu du désastre. Comme le feu faisait encore rage, nous étions en train de prier, sentant les odeurs qui nous pénétraient, envahissant l'atmosphère pendant des mois.

 

Je suis heureuse d'être ici… heureuse d'avoir vu cette cité, dure à l'extérieur, mais humaine à l'intérieur. Elle me parle. Je pensais qu'au plus profond de moi, nous avions naturellement crié à Dieu quand nous avions réalisé que nous ne pouvions pas faire n'importe quoi dans une situation donnée. Aujourd'hui, je suis reconnaissante d'avoir pu crier à Dieu  et qu'il me permet de l'appeler 'Père'. Quel réconfort.

 

J'ai voulu donné à tous mes amis et ma famille, partout à travers le monde, quelques réflexions, 10 ans après.

 

Photo du jour - reconnaitre à Tjeko

Jour 7 – Se reconnaître à Tjeko

Si Tjeko a introduit un système simple mais efficace, c'est bien le système de bracelets ! Avec ce bracelet, un enfant a libre accès à toutes les activités, accès au snack Tjeko, eau et limonade. Il est acheté à www.event-supplies.com

Photo de : Tatiana

 

Image du jour - gardé

4e jour – Gardé

Nous en avons fini par avoir trois équipes de gardes en même temps. La police, des gardes privés et notre propre équipe. Gardons-nous de nos gardes. A la vérité, le garçon à droite commence réellement à se plaire d'être chaque jour à la Foire Tjeko !

 

photo de: Tatiana

Image du jour : mauvaise information

6e jour : mauvaise information

Pourquoi personne n'a dit à cette institutrice de ne pas apporté des fournitures scolaires sur cette sortie d'école!

 

Image de  : Tatiana

Image du jour : joie

5e jour – Joie!

Tout ce que je peux dire, c'est que vous devriez avoir été ici pour vivre la joie !

Notre tente (louée) peut accueillir environ 750 gamins.

 

Photo de  : Tatiana

 

Photo du jour – La foule

4e jour – la foule

Je me rappelle avoir dit à nos  étudiants de l'Académie Tjeko : ''Nous allons démarrer avec 500 gamins par jour…''

Les yeux de la plupart se sont agrandis. Mais comme les choses avançaient, même avec beaucoup plus, ces jeunes étaient prêts à les accueillir !

 

Image : Folkert

Photo du jour - Anticipation

2e jour : Anticipation

Tjeko… Tjeko…Je n'en ai jamais entendu parlé, mais ça semble intéressant…

 

photo de : Tatiana
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Pendant le mois de septembre nous allons placer sur le site différentes images chaque jour. Seulement une.

Faite par nous. Faite par un ami. Faite par nous, piqué par un ami. Faite par un ami, piqué par nous…

Une photo par jour

 

Photographie du jour

Le nombre total de photos que nous avons – et la somme des photos prises par d'autres sur notre Foire Tjeko l'été dernier est de plus de 10.000 !

Je pense que la situation n'est pas juste… la honte c'est que, en ce moment, seul mon disque dur se fait plaisir avec toutes ces photos. Aussi pendant les prochains mois – c'est ma mission de placer une image par jour sur le site – et de dire quelques faits sur la Foire. Nous allons le faire sur le blog Tjeko.

 

Voici l'image du jour.

  

Le 3e jour de la Foire, un groupe d'une dizaine d'enfants aveugles et mal-voyants sont venus nous visiter. Pour moi, ce fut le premier moment où j'eus les larmes aux yeux.

 

Ferdi,

Lumière nouvelle sur un ancien verset

Ferdi et moi avons une incroyable opportunité devant nous. Quelque chose qui nous défie et nous stresse UN PEU. Nous savons que sans cela nous grandirions beaucoup. Mais, en même temps, quand nous essayons de décider, nous réalisons que nous tenons à nos vies… Nous nous demandons toujours ce que nous pourrions faire de plus… Pourrions-nous ajouter quelque chose à notre emploi du temps ? Arriverions-nous à faire autre chose ? Pouvons-nous aller plus loin ?

Nous faisons rarement ce que nous avons à faire. Nous finissions toujours par faire quelque chose d'autre parce que, quelque part, nous sommes très reconnaissants de pouvoir le faire. Et cette pensée, jusque là, m'effraie. Nous ne sommes pas de bons organisateurs, mais de durs travailleurs et nous avons tous deux peur de faire tout ce qui se présente et que cela finisse par nous 'tuer'… que nous finissions toujours par être fatigués, ne pas être bien avec les gens, disjonctés…Plus nous pensons à cela, plus nous voulons protéger nos vies.

 

Hier, j'ai eu un nouvel éclairage sur un vieux verset.

 

Celui qui cherchera à sauver sa vie la perdra, et celui qui la perdra la retrouvera. Luc 17 :33

 

Ce verset devint vivant et m'apporta quelque chose dans le cœur. J'ai toujours pensé que nous étions de ceux qui allaient donner leurs vies au loin. Avant, en lisant ce verset, je sentais qu'on me tapait dans le dos (bravo !) mais maintenant il m'interpelle (outch !)

Nous marchons vers une nouvelle saison, où Dieu commence à nous enseigner sa Grâce. Nous tenons encore à des petites choses que nous devons laisser partir… Ce processus de formation va nous défier mais nous voulons être en entier dedans. Le principe ''à moitié contre tout'' (je viens de le créer, ne tester pas sur google, lol). Voici comment ce principe fonctionne.

 

A MOITIE ne donne que des demi-résultats… Vous devez aller vers TOUT ! Quand vous vous engagez entièrement, alors le résultat change… TOUT vous donne de pleins résultats.

 

Ce n'est pas un processus facile mais j'espère que vous saisirez l'opportunité qui est devant vous d'aller vers TOUT. Ou simplement décidez d'aller vers TOUT dans vos engagements car alors seulement vous aurez de pleins résultats !

 

Par sa Grâce (2 Cor 12:9)

 

Du bon à l’excellent

Il y a quelques temps, je commençais ce livre surprenant appelé  ''Good to great'' (du bon à l'excellent) écrit par Jim Collins. La pensée de ce livre est que le 'bon' est l'ennemi de 'l'excellent'.

Il dit que nous n'avons pas trop d'écoles 'excellentes', parce que nous avons déjà de 'bonnes' écoles. Quand vous regardez autour de vous, vous voyez beaucoup de 'bonnes' entreprises, mais pas trop 'd'excellentes' entreprises ! Pourquoi ? Elles sont déjà bonnes – pourquoi essaieraient-elles d'être excellentes ?

Un autre de nos amis, Seth Godin (haha – nous appelons quiconque nous aimons un ami – nous ne lui avons jamais parlé !), explique dans son livre 'Linchpin' que pour arriver à devenir excellent, vous devez faire relativement beaucoup de travail, en apparence un peu de travail supplémentaire… mais ce supplément est ce qui définit 'l'excellence'. Et ce qui est le plus drôle… même s'il n'y a que peu de choses réellement 'excellentes', nous les reconnaissons tous !

Tanie et moi, nous nous demandons vraiment, selon cette pensée, si nous nous satisfaisons des choses de notre vie qui sont 'bonnes' ou si nous avons la direction et la passion pour devenir 'excellents'… (car c'est ce qui semble vous poussez vers un 'GROS' travail, pour l'apparence d'un peu de 'supplément').

Et vous savez ce qui est le plus drôle… le côté hollandais de ma personne me demande si je peux vraiment écrire ça ? que vas-tu faire de cet article de blog, car si la prochaine phrase dit que tu veux être excellent… tu dois te REMUER.

Mais la vérité est : nous ne voulons pas être bon… nous voulons être excellents (désolé pour mon côté hollandais…)

Oui ! nous le voulons réellement ! nous voulons que notre ministère soit excellent, nous voulons que notre famille soit excellente, nous voulons que notre mariage soit excellent (être simplement bon semble ne pas pouvoir durer…)

L'EXCELLENCE est ce que je recherche depuis longtemps. Pas être excellent – mais faire de l'excellence !

 

Il y a de l'excellence dans chacun de nous.  Comme compliment pour Celui qui l'a mise en nous, nous allons travailler pour la laisser sortir !

 

 

Les garcons d’à côté

De gauche à droite : Jeremiah, Maelle, Elijah et Emeth

 

Nous avons comme voisins les garçons les plus élégants que l'on puisse trouver !!! Jeremiah et Elijah et Cedella leur petite sœur encore bébé logent la porte voisine. Ce sont des grands amis de Maëlle. Si jamais j'ai besoin de parler à leur maman, je dois envoyer mes gamins aux jeux ou sinon… cela prendra une éternité pour obtenir que les bons enfants soient dans la bonne maison. Jusqu'à maintenant ils partagent leurs jouets et regardent des films ensemble… j'en suis sûrement heureuse ! Regardez par vous-mêmes…ils sont si mignons devant l'écran. Regardez comment  ils sont concentrés à regarder Rio.

Je voudrais qu'ils arrêtent de grandir et qu'ils restent toujours petits.

Premier jour de Maëlle à l’école

Photo 1 : l'école de Maëlle

Photo 2 : Maëlle à l'école

Photo 3 : Papa amenant fièrement sa fille en classe

Photo 4 : Yeah ! il y a un gagnant… le nom de Maëlle est écrit correctement

Photo 5 : Ellen, l'enseignante de Maëlle

Photo 6 : La chaise de Maëlle – près du professeur, et en fait, elle a fini par déménager pour s'asseoir près de David

Photo 7-8 : Le garçon à gauche est David, il vient à notre église… Maëlle l'a senti à la maison, sachant que David est aussi dans sa classe… Bien qu'elle m'ait dit qu'elle jouait avec l'ami de David (le garçon avec une chemise rouge)

Photo 9 : la classe

 

Ma fille a eu son premier jour à l'école (bon, en fait, ce fut seulement 2 heures lol). Elle aime ça ! Dernièrement, une de ses affirmations favorites était : ''je suis grande maintenant, je peux tout faire toute seule !!''

Dimanche matin, avant l'église, elle vint à moi et nous avons eu notre première conversation. Elle me dit qu'elle pouvait tout faire toute seule pour aller à l'école du dimanche… '' Maman, je suis dans une grande classe maintenant. Je suis grande ! je peux monter les escaliers TOUTE SEULE !! Et elle l'aurait sûrement fait.

Après l'école aujourd'hui, elle me demande ''Maman, est-ce que l'école est loin de la maison ? Oui Maëlle, très loin ! Mais tu sais, je suis grande maintenant, je peux y aller TOUTE SEULE''. Hier soir, juste avant d'aller au lit, elle dit à Ferdi : Papa Ik ben bijna zes... (Papa, j'ai presque 6 ans) Papa Ik ben bijna een mama toch?! (Papa, je suis presque une Maman)''

J'aime ma petite fille… Elle est allée à l'école pour son premier jour avec sa couronne du Roi David.

Elle l'a faite à l'école du dimanche hier et était très heureuse de la porter à l'école.

Maëlle aime écouter l'histoire de ''David et Goliath'' à chaque fois qu'elle a quelque chose de nouveau, un grand défi ou quoi que ce soit d'autre. Pour son premier jour d'école, ce ne fut pas différent, elle nous l'a demandée… allez comprendre ! Elle aime être encouragée… et d'une certaine façon, la leçon biblique de David et Goliath l'encourage (et moi aussi)… un petit garçon, comme elle, tue un grand géant… 

Bien, c'est sûr, elle grandit très vite… pour le moment c'est un peu effrayant mais je me réjouis tellement de voir comment elle devient une grande sœur pour Emeth. C'est bon de la voir jouer (et discuter( toute la journée. Et même que maintenant elle va à l'école où les bébés comme Emeth ne peuvent pas aller pour jouer… et elle y sera pendant encore longtemps !